mon histoire

voila je me suis dit que j allé vous faire partage une petite parti de l histoire que j écri et qui conserne mon perso Ðrøxïs.

l histoire fait 900page aujourd huit donc je vous mais juste un petit résune ^^
( petite info tout les lieu nom existe dans le jeu. ) bonne l ecture a vous tous.

l histoire

Ðrøxis se posa sur la chaise que l’aubergiste de Forgefer , Brassefeu lui désigna. L’odeur de jarret de cochon sauvage ou de venaison de talbuk embaumait toujours la taverne de brûlepierre. Cela avait le don d’apaiser l’esprit de Ðrøxis. Gwenna, la femme de l’aubergiste lui déposa une outre de bière brune naine comme à son habitude. Leurs regards se croisèrent un bref instant, mais le vide qu’exprimait celui de l’hôte glaça la serveuse.

Se retrouvant rapidement seul, Ðrøxis sortit une pile de parchemins, un encrier et une plume. Il étala tout son équipement devant lui et commença à écrire.

« Par quoi qu’vais-je commencer, il est marrant c’te prêtre qui m’conseille d’écrire ma vie sur parchemin. Nous les nains, on n’est pas très amis avec la pap’rasse. »

J’me nomme Ðrøxis Ðrafrøs, du clan des Marteaux Hardis. Vous connaissez peu de choses de notre clan, pourtant, notre destinée est étrangement liée à celle du monde d’Azeroth.

En effet, mon grand-père a combattu auprès des Humains et des Elfes pour vaincre Illitan Hurlorage. Le combat ne fut pas facile et les pertes furent lourdes dans nos rangs. Quelques années plus tard, le clan des Marteaux Hardis s’est de nouveau rallié avec les Humains et les Elfes de la nuit afin d’anéantir la liche qui pourrissait le Norfendre. Mon père combattu pour notre clan et succomba au fléau d’Arthas qui tomba lui aussi au combat.

Et il y a moi, le dernier de la lignée des Marteaux Hardis, sans frère de sang mais de nombreux frères d’armes. Je lève de nouveau le blason de notre clan afin de repousser dans le néant, le responsable de ce nouveau cataclysme, Aile de mort.

Mais nous n’en sommes pas encore là. Je devrai commencer par le début de mon histoire et non la fin. Que voulez-vous ? Je ne suis qu’un Nain ! Et les Nains sont bien connus pour ne pas être des experts dans la manipulation des mots pour en faire de jolis récits.

Je suis issu d’une famille modeste au sein du clan des Marteaux Hardis. Ma mère, Mørandas, participait à l’organisation des repas du clan ainsi qu’à la réparation de tous les habits. Une noble couturière et cuisinière, respectée de nos pères. Mon père, Ðalïøsar, quand à lui, était forgeron, habile de ses mains, il était capable de créer n’importe quelle arme avec un simple minerai.
Je suis fier qu’il est pu m’enseigner cet art dès mon plus jeune âge, avant qu’il…. Avant qu’il ne parte affronter le Seigneur Arthas pour ne plus jamais revenir. Il est vrai que j’ai nettement amélioré mes
talents de forgeron grâce à mes nombreux voyages au sein des terres d’Azeroth. Ces voyages m’ont permis de rencontrer de nombreux maître forgeron, qu’il soit Humain, Gnome, Draënei et même un Elfe de la nuit, vous savez ces êtres aux oreilles pointues et à la peau sombre.

Enfin ce détail n’est guère important et reprenons où j’en étais.

D’ailleurs où en étais-je ? …. Ah oui, mes parents ! Malheureusement, je ne les ai connus que très peu. Mon père nous quitta pour les terres froides du Norfendre vers mes 10 ans….. Euh 9ans…. Où était-ce 12 ? Que diable ! Ma mémoire me jouerait-elle des tours ? Bref, nous dirons dans ma dixième année.

C’est à la mort de mon père que j’ai commencé à exploiter des facultés que j’ignorais jusque là. Je percevais certaines lumières provenant de mes mains. Il fallait que j’en sache plus. La seule personne à qui je pouvais me confier était ma mère. A l’écoute de mon discours, elle n’hésita pas à préparer mon sac avec un plan afin de rejoindre la capitale des Humains, Hurlevent. Ville titanesque, regorgeant d’histoire.

Il est peu dire qu’à mon arrivée, je me suis senti….petit. Quel comble pour un nain que celui de se sentir petit ! Malgré tout, je me suis très vite adapté grâce au Seigneur Grayson Brisombre, le maître paladin d’Hurlevent. Il a été un véritable maître pour moi, il a pu m’enseigner dignement ce que j’avais en moi, être de lumière. J’avais été choisi par les Dieux d’Azeroth pour être un paladin.

Très rares étaient les nains paladins, je n’allais que de surprise en surprise. Effectivement, lors de ma formation, j’ai été binômé avec un autre élève paladin. Pour notre enseignement, notre maître Grayson, nous associait souvent avec notre opposé. J’vous laisse d’viné le mien ? Une femme ! Et qui plus est une jolie humaine, séduisante, et bien…..euh…. faite de surcroit !

A quoi pouvais-je m’attendre ?! Une elfe de la nuit ?? Aaaarghh !!! Que nenni par ma Sainte Barbe !

J’avoue que nos débuts furent difficiles. J’étais toujours sur mes arrières et elle, toujours distante. Notre collaboration, pour notre apprentissage devenait un véritable désastre ! Les autres binômes formés par notre maître nous devançaient haut la main et se voyaient octroyer les meilleures missions et nous les meilleures moqueries.

Il eut même un temps où je me suis demandé si ma mère avait fait le bon choix. Je devais lui en parler, trouver des réponses pour retirer ses doutes qui me rongeaient.

J’ai pu profiter d’une mission vers les Hautes Terres du Crépuscule pour retourner vers le village de mes origines, ….le village de mes tourments. J’ai bien cru que mon cœur allait embrasser ma barbe quand j’ai découvert un spectacle de désastre. Mon village d’enfant était devenu un champ de ruines. Quelques murs tenaient encore debout, derniers vestiges de ces habitations qui renfermaient mes souvenirs.

Vous pouvez’en voir les restes ! Le nom d’mon village était Dunwald ! Vous savez où l’trouvez, n’est-ce pas ?

Ce jour là, contre toute attente, ce fut Nïrïøsa qui m’épaula. Ah oui j’vous avez pas encore dit son nom ! Bah v’là c’est fait, Nïrïøsa, la belle paladine humaine. Elle avait agit sans un mot, sans un regard. Pendant que je pleurais la perte de ma défunte mère, elle s’était occupée de rendre les derniers hommages à tous les villageois morts. Elle avait u un comportement héroîque en ce jour de deuil. Je ne l’oublierai jamais.

A mon dernier regard sur mon village d’enfance, elle me glissa quelques mots qui résonnèrent dans ma tête. Et pour dire vrai, ils résonneront toujours jusqu’à la mort du coupable, « Aile de mort ».

Oui vous z’avez très bien lu « Aile de mort ». Et ce nom a bouleversé ma vie.

Depuis avec Nïrïøsa, nous avons accru nos techniques de combat, notre force se décupla en même tant que le nombre d’ennemi qui tombèrent sous nos larmes. Il nous fallut peu de temps pour devenir le meilleur binôme d’élèves paladins. Malheureusement, notre conviction et notre motivation n’étaient pas les plus saines. La haine et la colère coulaient dans nos veines. Maître Grayson Brisombre l’avait parfaitement deviné. Il tenta de nous empêcher d’affronter les acolytes d’Aile de mort, il nous disait pas encore prêt, trop fragiles. Nous voulions lui prouver le contraire.

Accompagnés des Chevaliers d’Elwynn, nous sommes partis affronter Néfarian. Nous pensions pouvoir le vaincre aisément….. Beaucoup d’entre nous, on apprit à leur dépend que nous étions de jeunes prétentieux. Nïrïøsa en faisait partie. Ma vie venait de prendre un nouveau virage. Comment pourrai-je affronter le regard de mon maître ? Comment vivrai-je avec la mort de Nïrïøsa qui était devenu mon amie ?

Il me fallut beaucoup de temps avant de reprendre mes armes. Mais surtout attendre la rencontre d’un être étrange, Awörn. Il se disait prêtre, pourtant il se dégageait de lui une aura sombre. Après quelques discutions ensemble, j’ai pu apprivoiser la haine qui me rongeait, reprenant ainsi confiance en moi. Je devins plus sage et plus fort. Awörn avait réussi à me remettre sur pied.

Aujourd’hui, je reste malgré tout hanté par la disparition de Nïrïøsa et de ma mère. Est-ce ma destinée ? Est-ce la fin de mon clan ? Le seul moyen d’y répondre c’est de me retrouver face à Aile de mort. Ma destinée et la sienne sont liées depuis le commencement d’Azeroth.

Il est temps pour moi de vous laisser, mes nouveaux compagnons d’armes, membre de la guilde Les fous furieux, m’attendent pour notre soulèvement contre Aile de mort. Jamais autant d’Humains, de Nains, de Draênei, de Gnome, de Worgen et d’Elfe de la nuit s’étaient réunis pour un même combat. Nous sommes prêts à en découdre, au prix de nos vies s’il le faut……

Adieu,

Ðrøxis Ðrafrøs

« _ Ðrøxis ! Dépêche-toi ! On t’attend pour l’envol vers L’âme du dragon !
_ Par ma sainte barbe ! J’arrive Impera ! »

Ðrøxis plia les parchemins qu’il glissa dans une petite sacoche de cuir. Il versa de la cire et y déposa son sceau.

« _ Gwenna ! Pouvez-vous m’envoyer c’te parchemin à mon ami, s’il vous plait. Choississez l’meilleur coursier qu’vous connaissez. Merci. »

Ðrøxis donna la sacoche à Gwenna ainsi qu’une bourse contenant 50 pièces d’Or, et se retira pour peut-être ne plus jamais revenir.

« Que Muradin Barbe-de-bronze vous garde, Ðrøxis. »

Gwenna rangea sa bourse et lut l’inscription sur la sacoche.

A mon ami Awörn, Ðrøxis Ðrafrøs

gg a toi courage pour la suite bo travail

rien que le chiffre 900 m'a fait dormir alors...

mais sinon gg ^^

Moi je veux bien le paragraphe sur la couverture de derrière pour lire le résumé lol.............mini a eu la même réaction que TPI ça va me faire dormir........mdr mais oui un grand GG il en faut du courage.....